2013, GOMEZ-GÉRAUD, Marie-Christine,
« Entre
savoir expérimental et science livresque... »,
cf. no 2479. [2537
2013, LABELLE, Kathryn Magee, « "Faire
la chaudière" : the wendat feast of souls,
1636 »,
French and Indians in the heart of North America, 1630-1815,
éd.
de Robert Englebert et de Guillaume Teasdale, East Lansing et
Winnipeg, Michigan
State University press et University of Manitoba press,
xxiv-219 p.,
p. 1-20. [2538
Étude ethno-historique de
l'événement,
mettant en relief sa portée politique dans l'alliance des
Hurons avec les
Français. Le document essentiel à l'analyse est le
chapitre 2.9
de la Relation huronne de 1636 de Brébeuf, souvent
étudié
dans le domaine des études littéraires :
« De la
feste solennelle des morts » (JR, 10: 278-310).
2016, CARSON, James Taylor,
« Brébeuf was
never martyred : reimagining the life and death of Canada's
first
saint », the Canadian historical review,
vol. 97,
no 2, p. 222-243. — Cf. no 2744 . [2539
*2016, GOMEZ-GÉRAUD, Marie-Christine,
« la
Mission comme expérience de la kénose : lettres
et
écrits de Jean de Brébeuf », Zwichen den
texten :
die übersetz an der schnittstelle von sprach- und
kulturwissenschaft,
éd. de Christina Ossenkop et de Georgia Valdre-Gerner,
Stuttart Ibidem,
224 p., p. 115-124. [2540
—— Réimp. Vertu du dénuement,
éd.
d'Élisabeth Pinto-Mathieu, Presses universitaires de Rennes,
2017,
294 p. L'article de M.-C. Gomez-Géraud y figure sous
le même
titre, p. 115-124. [2541
Étude de la spiritualité de
Brébeuf
construite sur le thème de la kénose, le
dénuement
(littéralement l'« évidement »),
entendu au
sens matériel, puisque le missionnaire a
littéralement tout
quitté lorsqu'il se trouve en Huronie, mais aussi et surtout
au sens
spirituel de l'abandon. Brébeuf s'est abandonné aux
Hurons afin
de pouvoir les convertir, mais il revit proprement l'abandon du
Christ, au sens
intransitif et passif d'« être
abandonné ».
2016, CÔTÉ, Sébastien,
« Marc-Antoine
Caillot, a company man : the remarkable
french-atlantic voyage of
a clerk for the Company of the indies », @nalyses,
revue des
littératures franco-canadiennes et
québécoise
(Université d'Ottawa), vol. 11, no 3 (automne),
p. 183-195.
[2542
Compte rendu de l'édition et entretien
(p. 187-195)
avec l'éditrice du manuscrit, Erin M. Greonwald.
2009, HUCHON, Mireille, le Français au
temps de
Jacques Cartier, présentation de Claude La
Charité, 2006, cf.
no 1668, 2e édition, avec
une
reproduction photographique du Brief Récit (1645),
Rimouski,
Tangence (coll. « Confluences »), 186 p.
[2543
2012, LITALIEN, Raymonde, « la Fortune
des
récits de voyages de Jacques Cartier », le
Livre du monde,
le monde des livres, mélanges en l'honneur de
François Moureau,
éd. de Gérard Ferreyroller et de Laurent Versini,
Paris, Presses
de l'Université Paris-Sorbonne, 1168 p.,
p. 493-508. [2544
Exposé classique de la réception
des
récits de voyage de Jacques Cartier. Les récits en
question sont
toutefois présentés dans leur ordre historique et non
dans l'ordre
et l'impact de leurs publications, d'abord la publication populaire
du Bref
Récit du second voyage, celui de 1535-1536 (qui
paraît en 1545),
et ensuite les publications savantes en italien, puis en anglais.
Il suffit de
lire le Bref Récit pour comprendre qu'il ne saurait
être une
oeuvre du capitaine de navire Cartier qui ne pourrait jamais, c'est
le bon sens
qui le dit (il n'est tout de même pas l'égal d'un
César !), parler de lui à la troisième
personne, tandis
qu'on a remarqué depuis longtemps que son auteur, Jehan
Poullet, s'y
donnait un beau rôle. Manifestement,
l'« écrivain » a produit une narration
à partir
du journal de bord, qu'il a probablement tenu lui-même, sous
la
dictée du capitaine. Après celle de H. P. Biggar (en
1901,
bg. 264), la lecture littérale scientifique des
récits de
Cartier est de Marcel Trudel dans le premier volume de son
Histoire de la
Nouvelle-France en 1963 (bg. 268). Ni l'un ni l'autre ne
figurent dans
cette présentation de la fortune littéraire et
culturelle des
récits de voyage de Cartier.
2012, MARTEISON, Peter, et Paul Perron,
« Soi-même et les autres : en relisant les
récits
des premières rencontres de Cartier, Champlain et
Brébeuf en
Nouvelle-France », Re-reading / la
Relecture : essays in
honour of Graham Falconer, éd. de Rachel Falconet et
d'Andrew Olivier,
Cambridge Scholars Publishing, p. 131-152. [2545
2012, PIOFFET, Marie-Christine,
« Dialogisme et
relation de voyage : premiers éléments de
réflexion
tirés des écrits de Jacques Cartier et de Jean de
Léry », le Livre du monde, le monde des
livres,
mélanges en l'honneur de François Moureau, éd.
de
Gérard Ferreyroller et de Laurent Versini, Paris, Presses de
l'Université Paris-Sorbonne, 1168 p., p. 701-715.
[2546
Étude thématique de la parole et
des langues
autochtones dans les relations des voyages de Cartier et
l'Histoire de
Léry.
2013, GOMEZ-GÉRAUD, Marie-Christine,
« Entre
savoir expérimental et science livresque... »,
cf. no 2510. [2547
*2013, MAURA, Juan F., « Franceses en
el
Canadá español : el espía Pedro de
Santiago y Jacques
Cartier », Cuadernos hispanoamericanos (Madrid),
no 760,
p. 61-72. [2548
2015, CAHILL, Donald, et Martin Ouellet,
« An
analysis of Jacques Cartier's exploration of the Gaspé coast
(1534) », Acadiensis, revue d'histoire de la
région
atlantique, vol. 44, no 2, p. 75-94. [2549
La géographie historique de la
première
exploration de Cartier.
2015, LE HUENEN, Roland, « le Discours
du
découvreur », le Récit de voyage au
prisme de la
littérature, préface de Philippe Antoine, Paris,
les Presses
universitaires Paris-Sorbonne (coll. « Imago
Mundi »),
392 p., chap. 2, p. 37-45. [2550
Si les deux premiers chapitres donnent
souvent les
récits des voyages de Cartier en exemple, le second s'y
attache de plus
près.
2017, LA CHARITÉ, Claude,
« Rabelais
élève de Jacques Cartier ou Doremet disciple de
Bertrand
d'Argentré », l'Année rabelaisienne,
no 1,
p. 377-382. [2551
2018, HEBBINCKUYS, Nicolas,
« Quelques exemples de
scénographies viatiques dans trois récits fondateurs
de la
Nouvelle-France », sur le voyage de Verrazano, le premier
voyage de
Cartier et celui de Jean Ribault, Scénographie du
récit de
voyage et imaginaire viatique (XVIe-XVIIIe siècles),
éd.
d'Isabelle Bour et de Line Cottegnies, Paris, Hermann (coll.
« République des lettres »),
282 p., p. 13-37. [2552
Comparaison systématique des trois
récit de
voyage sur quatre thèmes successifs, le territoire, les
indigènes,
les avenirs possibles et l'auto-congratulation. Dans l'ensemble,
Cartier est le
plus négatif des trois. Conclusion : il s'agit de
quatre voyageurs
qui écrivent et non d'écrivains qui voyagent, comme
ce sera le cas
bientôt en Nouvelle-France, notamment avec Lahontan.
2018, LA CHARITÉ, Claude,
« Moeurs, langage
et cérémonies des habitants de Canada, Hochelaga et
Saguenay :
la réduction de l'altérité dans le Brief
récit
(1545) de Jacques Cartier », French Forum
(University of
Pennsylvania), vol. 43, no 2, p. 189-200. [2553
2019, CAZES, Hélène,
« Napou tou
daman asurtat : signes d'amitié et échanges
d'incompréhension dans la Première Relation de
Jacques
Cartier », Voix autochtones dans les écrits de
la Nouvelle-France,
éd. de Sandrine Tailleur, d'Émilie Urbain et de Luc
Vaillancourt, Paris, Hermann (coll. « République
des
lettres »), 372 p., p. 151-189. [2554
Présentation très
générale du
contenu des deux premières relations de voyage de Jacques
Cartier.
Après la présentations de caractères
généraux
des relations, l'article tente de caractériser les
rencontres et les
échanges de l'équipage avec les Amérindiens.
La conclusion
dit assez explicitement que les « voix
autochtones » ne
s'expriment nulle part dans ces relations.
2019, DESLANDRES, Dominique, « Quand
Hochelaga
rencontre la France : paroles et agentivités
autochtones
retrouvées au XVIe siècle », Voix
autochtones dans
les écrits de la Nouvelle-France, éd. de Sandrine
Tailleur,
d'Émilie Urbain et de Luc Vaillancourt, Paris, Hermann
(coll.
« République des lettres »),
372 p., p. 191-209. [2555
Avalanche de notes infrapaginales totalement
inutiles, au
point que cela porte à rire. L'article n'a aucun rapport
avec le
thème du recueil (il expose la puissance d'Hochelaga en
regard de
Stadaconé). Les Iroquoiennes jouent dans ce texte
« féministe » un rôle qu'on ne
trouve nulle part
dans le Brief Récit du voyage de Cartier. L'article
ignore les
travaux de John L. Steckley qui auraient été
essentiels à
son sujet, si l'historienne avait entrepris de le traiter, soit le
puissant
discours des Hochelagaiens dans le chapitre qui leur est
consacré.
2019, VIDAL, Jean-Pierre, « l'Autre
dans les
variations du même », Voix autochtones dans les
écrits
de la Nouvelle-France, éd. de Sandrine Tailleur,
d'Émilie Urbain
et de Luc Vaillancourt, Paris, Hermann (coll.
« République des
lettres »), 372 p., p. 211-229. [2556
L'analyse se développe sur une
très curieuse
conception de la « fonction poétique »
de Jakobson,
qui ne s'exerce nulle part dans le Brief Récit. En
fait, l'auteur
présente à nouveau les rencontres de
l'équipage avec les
Amérindiens, comme on les a décrites depuis 30 ans,
les rencontres
de l'« Autre », depuis 50 ans. L'article n'a
aucun rapport
avec le sujet du recueil.
2013, BROUÉ, Catherine, et
Marc-André Marchand,
« la Figure du voyageur Cavelier de La Salle au service
de l'image de
l'auteur », Travaux de littérature,
no 26,
« Itinéraires littéraires du
voyage »,
éd. de François Moureau (Paris, Droz, Association
pour la diffusion
de la recherche littéraire), p. 266-277. [2557
Les auteurs étudient les
correspondances de Robert
Cavelier de La Salle (prises de la collection de Pierre Margry,
bg. 105 et
suiv.) et le Journal historique de Joutel (bg. 116),
avec une
(fabuleuse et bizarre) notion clé de l'École de
Québec :
l'« héroïsation ».
1989, DOIRON, Normand, « le Mensonge
de
l'interprète : l'idéologie et l'utopie dans le
Quatrième voyage de Champlain, en 1613
(1614) »,
Littératures (Montréal, McGill), no 3,
p. 65-77.
[2558
À partir de la dédicace au
prince de
Condé, le littéraire tente d'expliquer l'échec
de Champlain
à découvrir la Mer du Nord (la Baie James), par la
faute du
« mensonge » de Nicolas de Vignau. Pour
l'historien Marcel
Trudel, Vignau n'a pas menti, c'est Champlain qui a
été la dupe des
Algonquins de l'île (HNF, bg. 268, vol. 2,
p. 198-201,
pourtant innocemment cité ici, p. 73, n. 28).
2009, MORISSONNEAU, Christian, avec la
collaboration de Maryse
Chevrette et d'Isabelle Lafortune, le Rêve
américain de
Champlain, Montréal, Hurtubise, 253 p. [2559
Bon ouvrage de vulgarisation biographique.
Voir
l'étude scientifique de D. H. Fischer parue en 2008,
no 1715.
2012, MARTEISON, Peter, et Paul Perron,
« Soi-même et les autres : en relisant les
récits
des premières rencontres de Cartier, Champlain et
Brébeuf en
Nouvelle-France », Re-reading / la
Relecture : essays in
honour of Graham Falconer, éd. de Rachel Falconet et
d'Andrew Olivier,
Cambridge Scholars Publishing, p. 131-152. [2560
2013, TUSSEAU, Jean-Pierre, « Relire
ou
découvrir Samuel de Champlain : un récit de
voyage en 4e
[année du collège] », École des
lettres des
collèges, vol. 104, no 5 (mars-avril),
p. 43-49.
[2561
*2014, GOFF, Benjamen Noah, Samuel de
Champlain and the
french wars of religion, mémoire de maîtrise,
Duquesne
University. [2562
2014, THIERRY, Éric, « Samuel
de Champlain,
Voyages (1613) », Monuments intellectuels de la
Nouvelle-France et du Québec ancien : aux origines
d'une tradition
culturelle, éd. Claude Corbo, Presses de
l'Université de
Montréal, 396 p., p. 37-47. [2563
2017, PIOFFET, Marie-Christine,
« Samuel de
Champlain devant les historiens de la Nouvelle-France »,
Études canadiennes / Canadian studies,
no 82, p. 7-26. [2564
Critiques, critiques assez romanesques, de
quelques
entreprises de Champlain, pour lesquelles on ferait mieux de s'en
tenir aux
analyses des
historiens, à commencer par celles de Marcel Trudel. Cela
dit, il n'en
est pas moins amusant de voir une littéraire se mettre en
frais de
réécrire l'histoire, avec les opinions de Lescarbot,
de Sagard et de
Charlevoix, sans compter celles de
« Leclercq » !
Un
janséniste en Nouvelle-France est de 2003 : il y
a donc quinze
ans à ce moment qu'on sait que Leroux est le
rédacteur du
Premier Établissement de la foi en Nouvelle-France
(paru sous le
nom de Chrestien Leclercq en 1691).
2018, GIRARD, Stéphanie, et
Marie-Christine Pioffet,
« Samuel de Champlain, Gabriel Sagard et les
mémoires des
missions récollettes en Nouvelle-France »,
Textes
missionnaires dans l'espace francophone, éd. de Guy
Poirier,
vol. 2, « L'envers du décor »,
Québec,
Presses de l'Université Laval, 196 p., p. 11-30.
[2565
L'article s'ouvre sur la question des
révisions par
un jésuite des oeuvres antérieures de Champlain lors
de leur
réédition dans la Relation de 1632, essentiellement
au sujet des
récollets. Autrement, la question de l'édition en
tant que telle
n'a aucune portée, puisqu'on peut comparer la publication
originale et sa
nouvelle mise en forme. L'hypothèse est de C.-H.
Laverdière (cf.
bg. 64). Or, les deux auteures n'étudient pas la question,
mais parlent
abruptement de la Relation de 1632 comme d'une oeuvre de Champlain
ou
de son...
réviseur, et le plus souvent sur la partie inédite de
la relation,
soit le récit des années 1620-1629. En fait, elles
« lisent entre les lignes » afin de pourchasser
les critique
de Champlain à l'égard des récollets. Les
textes sont pour
cela assez manifestement sollicités, s'agissant
d'impressions de lecture.
La seconde partie de l'artile se propose d'exposer les
supposées
répliques de Gabriel Sagard à ces critiques dans
l'Histoire du
Canada (1636) qui lui est attribuée.
2018, MARRACHE-GOURAUD, Myriam,
« Poétiques
de la trace chez Champlain », Scénographie du
récit
de voyage et imaginaire viatique (XVIe-XVIIIe siècles),
éd.
d'Isabelle Bour et de Line Cottegnies, Paris, Hermann (coll.
« République des lettres »),
282 p., p. 39-51. [2566
Remarquable analyse du thème de
l'espace dans
l'oeuvre de Champlain. Caractérisation de l'oeuvre en trois
mouvements,
la pure découverte (1603), l'installation (1613 et 1619) et
le
« désir de conversion et d'administration des
lieux » (1632). L'analyse se fait ensuite sur trois
dimensions :
l'organisation géographique (Champlain nomme, mesure et
cartographie); les
interventions tangibles (les croix et les habitations); et les
jalons personnels
à valeur affective (les jardins, ses jardins, lieux de
loisir). Le titre
du recueil prend ici tout son sens : la « mise en
scène » est celle de la transformation d'un pays
(sauvage) en
un paysage (européen).
2009, CARTMILL, Constance,
« l'Ensauvagement comme
stratégie rhétorique dans trois relations
épistolaires de
la Nouvelle-France : La Potherie, Lahontan et
Charlevoix »,
Métis Histories and identities/ Histoires et
identités
métisses, hommage à Gabriel Dumont, éd. de
Denis Gagnon,
de Denis Combet et de Lise Gaboury-Diallo, Winnipeg, Presses
universitaires de
Saint-Boniface, 440 p., p. 305-323. [2567
2014, BERTHIAUME, Pierre,
« François-Xavier
de Charlevoix, Histoire et description générale de
la
Nouvelle-France », Monuments intellectuels de la
Nouvelle-France et du Québec ancien : aux origines
d'une tradition
culturelle, éd. de Claude Corbo, Presses de
l'Université de
Montréal, 396 p., p. 121-131. [2568
2016, POIRIER, Guy, « Charlevoix,
lecteur de
Sagard », Études littéraires,
« Autour
de Gabriel Sagard », éd. de M.-C. Pioffet,
vol. 47,
no 1, p. 97-107. [2569
2019, POIRIER, Guy,
« Pierre-François-Xavier
de Charlevoix : la parole autochtone et la parole
canadienne »,
Voix autochtones dans les écrits de la
Nouvelle-France, éd.
de Sandrine Tailleur, d'Émilie Urbain et de Luc
Vaillancourt, Paris,
Hermann (coll. « République des
lettres »),
372 p., p. 325-339. [2570
L'auteur connaît bien l'édition
du Journal de
Charlevoix par P. Berthiaume (bg. 72) et quelques travaux sur
ce qui devait
être son sujet, la « parole
amérindienne » en
Nouvelle-France. Sauf qu'il s'agit d'un non lieu :
voilà quinze
pages du recueil perdues à constater que Charlevoix n'a
jamais
dialogué ni n'a jamais eu le moindre contact avec les
Amérindiens.
Bref, exit la « parole
amérindienne ».
2016, HARINEN, Julie, « Claude
Chauchetière
et la mise en place d'un projet fondateur », Catherine
Tekakwitha
et la peinture missionnaire : stratégies de conversion
en
Nouvelle-France au XVIIe siècle, mémoire de
maîtrise,
histoire de l'art, Université de Montréal,
x-112 p.,
chap. 2, p. 46-99, [2571
2001, André Sanfaçon,
« "A New Loreto
in New France" : Pierre-Joseph-Marie Chaumonot, s.j., and the
holy house
of Loreto », Decentring the Renaissance : Canada
and Europe
in multidisciplinary perspective (1500-1700), éd.
Germaine Warkentin
et de Carolyn Podruchny, University of Toronto Press, 2001,
387 p., p.
200-220. [2572
2014, ERTLER, Klaus-Dieter, « les
Relations des
jésuites et la construction de l'observateur européen
face au monde
indigène », Jesuit Accounts of the colonial
Americas :
intercultural transfers, intellectual disputes, and
textualities, éd.
de Marc André Bernier, de Clorinda Donato et de
Hans-Jürgen
Lüsebrink, University of Toronto Press, ix-464 p.,
p. 276-290.
[2573
La lecture des RJNF, de la rédaction de
Paul Lejeune
à la lecture de Cornelius De Pauw.
2017, LAFLÈCHE, Guy, « les
Mémoires
de Jeanne Mance », Agora Vox,
< agoravox.fr >,
27 juillet. [2574
Texte de vulgarisation à l'occasion du
375e
anniversaire de la fondation de Montréal.
2018, VAN DER SCHUEREN, Éric,
« Oraison
funèbre du comte de Frontenac par le père
récollet Olivier
Goyer (1698) », étude et édition critique,
les
Récollets en Nouvelle-France : traces et
mémoire,
éd. de Paul-André Dubois, Québec, Presses de
l'Université Laval, x-560 p., 319-362. [2575
1935, PENIDO, Maurílio Teixeira-Leite,
« Autour de Marie de l'Incarnation », la
Conscience
religieuse : essai systématique suivi
d'illustrations, Paris,
Pierre Téqui (coll. « Cours et documents de
philosophie »), vi-251 p., chapitre V, dernier
chapitre,
p. 177-244. [2576
Réécriture de cinq cours
donnés
à l'Université de Fribourg, en Suisse. L'ouvrage
publié en
français n'a donc pas d'équivalent en portugais et je
ne trouve pas
d'autres textes de M. T.-L. Penido sur Marie Guyart.
1935, RENAUDIN, Paul, Une grande mystique
française
au XVIIe siècle, Marie de l'Incarnation, ursuline de Tours
et de
Québec : essai de psychologie religieuse, Paris,
Bloud et Gay,
340 p. [2577
1936, CUZIN, Henri, Du Christ à la
Trinité,
d'après l'expérience mystique de Marie de
l'Incarnation, ursuline
de Tours et de Québec, Lyon, Librairie du
Sacré-Coeur,
158 p. [2578
1938, KLEIN, Joseph, l'Itinéraire
mystique de la
vénérable mère Marie de l'Incarnation,
ursuline de Tours et
de Québec, Paris, Dillen, 240 p. [2579
1940, ROBITAILLE, Georges, Telle qu'elle
fut :
études critiques sur Marie de l'Incarnation,
Montréal,
Beauchemin, 177 p. [2580
1946, CHABOT, Marie-Emmanuel, Marie de
l'Incarnation
d'après ses lettres, Ursulines de Québec et
Éditions de
l'Université d'Ottawa, 337 p. [2581
1948, LEBRETON, Jules, « l'Union
mystique dans la
vie apostolique : Marie de l'Incarnation »,
« Tu
solus sanctus » : Jésus-Christ vivant dans
les saints,
études de théologie mystique, Paris, Beauchesne,
269 p.,
p. 169-206. [2582
1954, JETTÉ, Fernand, la Voie de la
sainteté
d'après Marie de l'Incarnation, fondatrice des ursulines de
Québec, Éditions de l'Université d'Ottawa,
226 p.
[2583
1955, HATZFELD, Helmut-Antony,
« Mística
femenina clásica en España y Francia... »,
Estudios
literarios..., Madrid, Gredos, 407 p., chap. 4,
p. 253-290.
Cf. bg. 827. [2584
L'entrée bg. 827 doit être
ainsi
précisée, mais n'a pas à être
corrigée. Les
références données par Alessandra Ferraro
(2014, no 2625, p. 189, n. 34) et par Amandine
Bonesso
(thèse de 1974, no 2559, en
bibliographie,
p. 387) sont inexactes.
1960, BAILLARGEON, Samuel, « Marie de
l'Incarnation
(1599-1672) », Littérature
canadienne-française,
Montréal, Fides, 527 p., p. 30-32. [2585
Pour tout autre auteur de la Nouvelle-France,
une telle
référence bibliographique serait une véritable
plaisanterie,
mais pas dans le cas de Marie Guyart, soeur de l'Incarnation, comme
on le verra
à la chronique de Liberté en 2015 !
1961, ADOUR, Paul, Marie de l'Incarnation,
ursuline
missionnaire en Canada, Paris, La Colombe, 144 p.
[2586
1964, CHABOT, Marie-Emmanuel,
« Tant femme que
rien plus » : Marie de l'Incarnation,
Québec, Centre
Marie de l'Incarnation, 86 p. [2587
1964, RÉTIF, André, Marie de
l'Incarnation
et la mission, Tours, Mame (coll. « Esprit et
mission »),
173 p. [2588
1972, THIRY, André, Marie de
l'incarnation :
itinéraire spirituel, Paris, Beauchesne, 176 p.;
introduction
de Guy-Marie Oury, p. 5-23. [2589
1973, OURY, Guy-Marie, Marie de l'Incarnation
(1599-1672), Tours, Société archéologique
de Touraine,
2 vol., ix-607 p. [2590
1975, MICHEL, Robert, Vivre dans
l'Esprit : Marie de
l'Incarnation, Montréal, Bellarmin, 337 p.
[2591
1980, OURY, Guy-Marie, Ce que croyait Marie
de
l'Incarnation et comment elle vivait sa foi, Solesmes, Abbaye
Saint-Pierre,
153 p. [2592
Le premier volet du titre reprend le titre de
l'ouvrage de
1972, no 1767, mais je ne sais pas
s'il s'agit
d'une seconde édition.
1983, COUILLARD, Marie, « le Discours
mystique de Marie de l'Incarnation : paroles de femme et/ou
érotomanie ? », la Femme, son corps et la
religion : approches pluridisciplinaires, 2 vol.,
vol. 1,
éd. d'Élisabeth Jeannine Lacelle, Montréal,
Bellarmin,
246 p., p. 163-173. [2593
1986, LOEW, Jacques, « la Bienheureuse
Marie de
l'Incarnation : Dieu dans le "tracas" », la Vie
à
l'écoute des grands priants, Paris, Fayard/Mame,
275 p.,
p. 93-139. [2594
1989, CHABOT, Marie-Emmanuel, Dis-moi ton
nom : les
noms divins dans les écrits de Marie de l'Incarnation,
Sainte-Foy,
Anne Sieger, 99 p. [2595
1993, BOISSET, Louis Félix,
« Souffrir :
un chemin », l'Itinéraire mystique d'une
femme :
rencontre avec Marie de l'Incarnation, éd. de Jean
Comby,
Faculté de théologie de Lyon, Paris, Cerf,
223 p.,
bg. 514 [7], p. 135-165. [2596
1993, GOMBERVAUX, Colette, « Un texte
et son
mouvement, le Douzième état d'oraison, d'un
voeu à
un voeu », l'Itinéraire mystique d'une
femme :
rencontre avec Marie de l'Incarnation, éd. de Jean
Comby,
Faculté de théologie de Lyon, Paris, Cerf,
223 p.,
bg. 514 [8], p. 167-193. [2597
1993, ROBERT, Sylvie, « la Relation
indicible [la
Relation de 1654] », l'Itinéraire mystique
d'une femme :
rencontre avec Marie de l'Incarnation, éd. de Jean
Comby,
Faculté de théologie de Lyon, Paris, Cerf,
223 p.,
bg. 514 [9], p. 195-221. [2598
1994, MENGOLI, Michela,
« l'Étrange destin
des écrits de Marie de l'Incarnation », Actes
du premier
colloque des jeunes chercheurs en littérature
québécoise, avril 1993, Paris, Centre de
coopération
interuniversitaire franco-québécoise,
Université Paris VII,
p. 11-16. [2599
1995, MENGOLI, Michela, « Marie de
l'Incarnation et
la Relation de 1654 : une écriture féminine
binaire », Francofonia (Université de
Cadiz), no 4,
p. 223-250. [2600
1997, GIGUÈRE, Herman, « Une
voie de
l'indicible : le fond de l'âme », Laval
théologique et philosophique, vol. 53, no 2,
p. 185-198. [2601
1999, MICHEL, Robert, le Milieu familial de
Marie Guyard
(Marie de l'Incarnation), Tours, Centre de
généalogie de
Touraine, 115 p. [2602
1999, OURY, Guy-Marie, l'Expérience de
Dieu avec
Marie de l'Incarnation, Saint-Laurent (Montréal), Fides,
140 p.
[2603
2001, GOLDSMITH, Elizabeth C.,
« Discovering new
worlds : Marie de l'Incarnation and the process of
autobiography », Publishing women's life stories in
France
(1647-1720) : from voice to print, Aldershot, Ashgate,
p. 12-41.
[2604
2001, VANASSE, Claudie, « le Corps de
la
possédée », Liberté
(Montréal),
vol. 43, no 2, p. 76-94. [2605
Sur le sujet de Marie Guyart de l'Incarnation,
traité
ici fort sérieusement, Liberté fera moins
bien, en 2015.
Je suis étonné que la revue fondée par
Jean-Guy Pilon, que
je lisais religieusement dans ma jeunesse, s'intéresse
à Marie
Guyart-Martin, soeur de l'Incarnation... Le temps a dû
passer et
manifestement la revue a beaucoup changé.
2003, DESLANDRES, Dominique, « In the
shadow of the
cloister : reprensentations of female holiness in New
France »,
Colonial Saints : discovering the holy in the Americas
(1500-1800),
éd. Allan Greer et de Jodi Bilinkoff, New York et London,
Routledge,
réimp. 2015, xxii-317 p., p. 129-152.
[2606
2009, DESLANDRES, Dominique,
« Agentivité,
voix et voies des Françaises du 17e siècle : le
cas de Marie
de l'Incarnation (1599-1672) », Interrelations
femmes-médias
dans l'Amérique française, éd. de Josette
Brun,
Québec, Presses de l'Université Laval (coll.
« Culture
française d'Amérique »), 246 p.,
p. 13-40.
[2607
L'historienne se convertit ici au
féminisme. Tableau
de l'activité débordante des femmes en France au
XVIIe
siècle. L'importance des correspondances féminines.
Des oeuvres
littéraires des femmes. Etc. Il est facile de deviner la
suite :
notre Marie Guyart en féministe ! (p. 29-35).
L'« agentivité » est un terme de
précieuses
modernes pour désigner ici une femme... d'action.
2010, FERRARO, Alessandra, « Une voix
qui perce le
voile : émergence de l'écriture
autobiographique dans la
Relation de 1654 de Marie de l'Incarnation »,
Ponti/Ponts : langues, littératures, civilisations
des pays
francophones, no 9, p. 57-69. [2608
2010, DESLANDRES, Dominique, « la
Religieuse et ses
livres : le cas de Marie Guyart de l'Incarnation au
début de la
Nouvelle-France », Ad libros, mélanges
d'études
médiévales offerts à Denise Angers et
Joseph-Claude Poulin,
éd. Jean-François Cottier, de Martin Gravel et de
Sébastien
Rossignol, Presses de l'Université de Montréal,
412 p.,
p. 349-374. [2609
2011, BÉLANGER, Hélène,
Marie de
l'Incarnation, une femme à découvrir,
Montréal,
Médiaspaul, 232 p. [2610
*2011, GRÖNE, Maximilian, « vom
Wissen um die
andere welt : die briefe der Marie de l'Incarnation zwischen
kolonialismus
und mystik », Nobilitierung vs. divulgierung ?
strategien der
aufbereitung von Wissen in romanischen dialogen, lehrgedichten und
erzähltexten der frähem neuzeit, éd. de Tobias
Leuker,
München, Martin Meidenbauer, xii-280 p., p. 213-230.
[2611
La Connaissance de l'Autre Monde : la
correspondance
de Marie Guyart, entre colonialisme et mystique.
2012, CHAMPAGNE, René, Marie de
l'Incarnation ou le
Chant du coeur, Montréal, Médiaspaul,
165 p., no 1922
(cf. no 2484 [5] [2612
2013, BARBEAU, Thierry, « Étude
du
contexte » de l'édition des écrits de Marie
de
l'Incarnation par Claude Martin », édition
électronique,
no 2465 [2]. [2613
2013, BRODEUR, Raymond, « Marie de
l'Incarnation
sous le regard d'Henri Bremond », édition
électronique,
no 2465 [1]. [2614
2013, BRODEUR, Raymond,
« l'Évangélisation chez Marie de
l'Incarnation », édition électronique,
no 2465 [3]. [2615
2013, BUSTARRET, Marie-Caroline,
« l'Abandon
à Dieu chez Marie de l'Incarnation : une
expérience
spirituelle féconde », édition
électronique,
no 2465 [4]. [2616
2013, FERRARO, Alessandra, « Dal
discorso mistico
all'autobiographafia : le "Relations" (1633-1654) di Marie de
l'Incarnation », Lingue e testi delle riforme
cattoliche in Europa
e nelle Americhe (secc. XVI-XXI) / the Languages and texts of
the catholic
reforms in Europe and the Americas (XVI-XXI cent.), éd.
de R.
Librandi, Florence, Cesati, p. 405-417. [2617
2013, FERRARO, Alessandra, « "Ce n'est
pas seulement
un langage de femme" : la voix féminine
étouffée de
Marie de l'Incarnation », Oltreocena, no 7,
p. 67-81.
[2618
2013, PIOFFET, Marie-Christine,
« Marie de
l'Incarnation devant l'histoire littéraire : une
relecture des
marges », Relire le patrimoine lettré de
l'Amérique
française, édition de Sébastien
Côté et de
Charles Doutrelepont, Québec, Presses de l'Université
Laval,
xii-262 p., p. 83-96. [2619
2013, TRÉPANIER, Anne,
« Refondation
matérielle et spirituelle en Nouvelle-France :
récits pour
une incarnation de l'imaginaire canadien », Relire le
patrimoine
lettré de l'Amérique française,
édition de
Sébastien Côté et de Charles Doutrelepont,
Québec,
Presses de l'Université Laval, xii-262 p.,
p. 97-118. [2620
Le tremblement de terre de 1663 et l'incendie
de 1682, dans
la Basse-Ville de Québec.
2014, BONESSO, Amandine, l'Énonciation
troublée dans la Relation de 1654 de Marie de
l'Incarnation,
thèse de doctorat, département de Langue et
littérature
étrangère, Université d'Udine, 407 p.
[2621
L'analyse de l'énonciation du discours
autobiographique se double de deux formes de l'analyse
littéraire,
l'étude narrative et l'étude thématique
(thèmes
concrets, métaphoriques, puis les espaces et les temps). Si
l'importante
bibliographie, qui a permis de compléter substantiellement
la
présente section, n'est pas critique, en revanche, la
thèse s'ouvre
par une série d'états présents des travaux qui
mettent les
études (ouvrages et articles) en contexte : les
études
biographiques, les études littéraires et la
réception de
l'oeuvre.
2014, BONESSO, Amandine, « les
Rêves
prophétiques de Marie de l'incarnation
(1599-1672) »,
Ponti/Ponts : langues, littératures, civilisations
des pays
francophones (Milan), vol. 14, p. 95-114. [2622
2014, DESLANDRES, Dominique, « Marie
Guyart de
l'Incarnation, Relation de 1654 (1654) »,
Monuments
intellectuels de la Nouvelle-France et du Québec
ancien : aux
origines d'une tradition culturelle, éd. de Claude
Corbo,
Presses de
l'Université de Montréal, 396 p.,
p. 77-88.
[2623
2014, DUNN, Mary,
« Introduction »,
From mother to son : the selected letters of Marie de
l'Incarnation to
Claude Martin, Oxford University Press, 257 p.,
p. 1-39. [2624
Un efficace sommaire de son ouvrage, qui
paraîtra en
2016. Le texte s'ouvre, en exergue, sur de spectaculaires extraits
qui
résument la lettre de Marie Guyart à son fils, le 30
juillet 1669
(Oury, lettre 247) : « N'estes-vous pas bien aise,
mon
très-cher fils, de ce que je vous ay
abandonné... ».
Malheureusement, l'objectif est d'ignorer la question, de
l'effacer.
2014, FERRARO, Alessandra, « les
Récits
personnels de Marie de l'Incarnation ou De l'écriture
autobiographique
détournée », Francofonia (Florence),
vol. 34
(no 1), no 66, p. 177-191. [2625
Analyse de la Lettre aux ursulines de Tours
sur la mort de
Marie de Saint-Joseph, printemps 1652 (Oury, lettre 140,
p. 436-473).
Comparaison avec la réécriture de la lettre par Paul
Lejeune au
chapitre 10 de la Relation de 1652 de Paul Ragueneau (JR, 38:
68-164),
réécriture qui comprend une mise en garde contre les
défaillances jubilatoires, proches de l'extase
(p. 185-186). Sans
compter qu'avec le changement de narrateur, le texte de l'ursuline
en devient non
seulement jésuite, mais, évidemment,
« masculin » ! Et, bien entendu, une
lettre circulaire
(destinée aux ursulines de Tours) n'a pas le même sens
ni la
même portée qu'un chapitre des RJNF.
*2014, FERRARO, Alessandra, Una voce
attraverso il
velo : l'alterità del linguaggio mistico e missionario
di Marie de
l'Incarnation, Venise, La Toletta, 125 p. [2626
2014, GRÉGOIRE, Vincent,
« Malentendus
culturels rencontrés par les missionnaires ursulines en
Nouvelle-France
au XVIIe siècle », Seventeenth-century french
studies,
vol. 36, p. 109-124. [2627
2014, SMART, Patricia, « Écrire
le moi et son
anéantissement : Marie de l'Incarnation »
(chap. 2
de la première partie, « Vivre et écrire
pour Dieu :
l'ère mystique », qui présente aussi les
écrits
autobiographiques des religieuses de la Nouvelle-France), De
Marie de
l'Incarnation à Nelly Arcan : se dire, se faire par
l'écriture intime, Montréal, Boréal, 2014,
432 p.,
p. 51-100. [2628
2015, FERRARO, Alessandra,
« Vêtement et
nudité dans la correspondance de Marie de
l'Incarnation »,
« La grâce de montrer son âme dans le
vêtement » : scrivere di tessutti, abiti,
accessori,
studi in onore di Liana Nissim, vol. I, Del quattrocento al
settecento, éd. de Maria Benedetta Collini, de Marco
Modenesi et de
Francesca Paraboschi, Milan, Ledizioni, Università degli
studi de Milano,
xxxv-400 p., p. 177-187. [2629
2015, BONESSO, Amandine, « Marie de
l'Incarnation
d'après Jean-Daniel Lafond : l'amour d'une sainte
contre la barbarie
actuelle », Dialogues francophones, vol. 21,
p. 185-197. [2630
2015, BRODEUR, Raymond, « S'approprier
la langue de
l'autre pour catéchiser », Risquer un monde
nouveau :
375 ans de vie et d'audace, éd. de Raymond Brodeur et de
Gilles
Routhier, Québec, Novalis, 355 p., p. 131-139.
[2631
Présentation de la
catéchèse
exercée par Marie Guyart. R. Brodeur développera cet
aspect de
l'oeuvre de l'ursuline en 2019, no 2646.
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