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Les index sont des mises en ordre alphabétique
d'informations, de
connaissances. Est-ce que l'on peut indexer les ignorances ?
Cela va
de soi,
puisque les connaissances de la génétique sont
précisément les ignorances de la CGMM. Bien entendu,
les deux
séries d'index qui suivent ne sont pas rigoureusement du
même
ordre,
mais ils peuvent tout de même être comparés,
d'autant plus
que
la réponse à la question suivante est un bien petit
nombre :
combien d'articles de CGMM ont paru ailleurs que dans les revues et
recueils
de
CGMM ?
LA IGNORANCIA
La primera virtud del sabio es conocerla
pues no siempre está oculta tras un rostro
ni tiene plumas de pájaro ni garras de león
y más aún que su aspecto casi siempre
engañoso
la soberbia delata a la Esfinge.
...........................................
Ángel Pariente
Oscuro Corazón de la
llama,
1996
Je consacre à la brouillonnologie quelques semaines
par
année, puis une journée ici ou là. Ce sont
des
vacances.
Jamais je n'aurais cru que je deviendrais
brouillonnologue !
Fonder
la science du brouillon, c'est très excitant. À tel
point que
je
dois résister à la tentation d'y travailler à
temps
plein.
Même chose, pour l'analyse critique de la CGMM, qui en est la
cause.
Tout a commencé de façon très anodine.
Au
cours des dernières années, ce sont des études
de
genèse qui m'ont conduit, moi structuraliste, à faire
quelques
découvertes vraiment importantes dans le domaine des
écrits de
la
Nouvelle-France. D'abord j'ai trouvé rien de moins que la
clé
du
célèbre combat de Dollard des Ormeaux au Long-Sault
(1660) en
étudiant la genèse de la version officielle de
l'épisode
dans
les relations des jésuites de la Nouvelle-France, plus
précisément dans les deux chapitres que le
Supérieur
Jérôme Lalemant (attribués jusqu'ici au
jésuite
Paul
Lejeune !) y consacre dans sa Relation de 1660, où il
cache le but
commercial de l'expédition désastreuse
organisée par les
jésuites. Ensuite, avec cette découverte, j'ai pu
étudier
sous un jour nouveau le récit du même l'épisode
dans un
autre
ouvrage, l'Histoire du Montréal (1672) de
François
Dollier
de Casson, ce qui m'a conduit à la genèse même
de cette
oeuvre
très importante dans l'historiographie du Canada, pour en
découvrir
non seulement les sources, mais le véritable auteur - nulle
autre que
Jeanne
Mance, co-fondatrice de Montréal !
Ce sont les méthodes structurales d'analyse
textuelle, j'en
suis
persuadé, qui m'ont permis de mener ainsi ces études
génétiques de textes clés de l'histoire du
Québec,
la
Relation de 1660 et l'Histoire du Montréal. Je
rappelle que
l'étymologie n'explique pas le sens des mots : elle
permet
simplement
d'en faire l'histoire et de ...savoir de quoi l'on parle.
Ainsi en
a-t-il
été de l'attribution, de l'étude des sources
et de la
genèse de ces deux textes.
Voilà comment j'ai entrepris, au cours de
l'été
1997,
un travail théorique et pratique sur les palimpsestes des
écrits
des
missionnaires récollets de la Nouvelle-France. Sagard,
Hennepin,
Leclercq,
Leroux, Douay et Membré, autant d'ecclésiastiques qui
se copient
les
uns les autres et plagient les jésuites sans vergogne (qui
eux, ces
hommes
modernes, dédaignent justement les connaissances livresques,
de sorte
que
leurs textes sont toujours originaux, de première main).
Puisque
j'allais
étudier la genèse des écrits des
récollets et la
comparer à celle des jésuites, je me suis donc mis
à
l'étude de la CGMM, dont mes collègues
littéraires me
parlaient depuis des années, sans que j'eusse le temps ni
l'occasion
d'en
rien lire.
Ce fut la découverte que l'on imagine.
Autant de truismes et d'erreurs s'écrivaient depuis
trente ans
dans
des dizaines de livres et de recueils et personne encore ne
hurlait ?
L'été 1997 a été pour moi une
sorte de
sentier
de Damas. J'étais renversé, bien entendu. Mon
cheval de
bataille
était la très classique
« génétique », une forme
d'analyse que mes
très classiques professeurs m'avaient apprise dès mon
entrée à l'université. Une méthode que
je
pratique
moi-même sur les écrits que j'édite ou que
j'étudie,
comme on m'a appris à le faire. J'entends encore
Françoise
Siguret
nous expliquer à peu près que, oui, le structuralisme
nous est
tombé dessus, et oui, la linguistique générale
de
Troubetzkoy,
Saussure, Hjelmslev, Martinet et Jakobson a complètement
révolutionné les études linguistiques et, par
conséquent, les études littéraires, et oui,
oui, c'est
le
règne des Barthes, Todorov et Genette, avec devant eux
l'escadron des
Formalistes Russes, et non, et là Françoise Siguret
faisait une
pause
magistrale, regardait Yves Simard et Nathan Ménard de biais,
avec son
air
coquin, puis poursuivait que cela n'allait pas nous dispenser de
savoir ce que
nous
ont appris les Gustave. Pour les nommer : Lanson et Rudler.
Votre
manuel,
page cent trente-deux, « la Genèse de l'oeuvre
littéraire ».
Se pouvait-il que les universitaires et savants
fonctionnaires de
l'Institut des Textes et Manuscrits modernes ignorassent tout de
l'enseignement
classique de Françoise Siguret ? Entre 1960 et 1975,
on
n'enseignait
pas en Europe comme à Montréal que la critique de
genèse,
celle de Lanson et de Rudler, comme l'histoire littéraire
tout
entière d'ailleurs, était prise d'assaut par le
structuralisme ?
Ciel ! Est-ce que Raymond Picard lui-même, l'alter ego
de Roland
Barthes, n'était pas professeur à l'Université
de
Paris ?
On n'allait pas me dire qu'il s'était converti au Sur
Racine
en
reniant l'histoire littéraire et surtout la
génétique ?
Le plus probable est qu'il eût de bien mauvais
élèves,
puisqu'ils n'avaient rien compris au structuralisme non plus. Car
le plus
surprenant, pour un spécialiste de l'établissement
des textes,
était encore cette notion vraiment farfelue du Texte, du
« Texte
définitif », « fini »,
« imprimé ». Sans parler de l'objet
mythique
auquel on
l'opposait, le « manuscrit moderne »,
concept
vraiment
surréaliste pour quiconque a fréquenté les
dépôts
d'archives, les Archives des Indes occidentales de Séville,
par
exemple,
où se trouvent parfois des brouillons, quelques-uns
de la main
de
Stéphane Mallarmé à la bibliothèque
Jacques Doucet
de
Paris, par exemple. Alors ? Sont-ils tous tombés sur
la
tête
en même temps ou était-ce moi qui tombait des
nues ?
Voilà comment j'en suis venu à rédiger
pour le
plaisir
de la chose une très simple parodie. Pour faire la critique
de la
CGMM, il
suffisait d'appliquer sa phraséologie sur n'importe quel
texte,
à
l'aveugle, Phèdre, par exemple, dont on n'a ni
brouillon ni
manuscrit. J'allais même l'inventer. Ce sera : Un
exploit de
la
génétique : le manuscrit de
« Phèdre ». La preuve par l'absurde
est
vraiment
hilarante. On s'est amusé tout un été
à cette
mise en
scène de la phraséologie de l'École.
Mais le plus drôle et le plus inattendu était
de
l'ordre de la « réception critique ».
Autant
la publication du texte dans le Devoir, un quotidien de
Montréal, m'apportait des témoignages de sympathie
spontanés, autant la réaction des spécialistes
de la
CGMM et de leurs sympathisants était inattendue. Silence.
J'ai
beau être polémiste de métier, je ne pensais
vraiment
pas qu'on pouvait faire carrière en CGMM et tenter d'ignorer
purement et simplement une inoffensive parodie qui devait bien
tenir un
peu de la caricature. Pas du tout ! La parodie était
évidemment de l'ordre de l'ironie radicale. La preuve en
est que
les tenants de la CGMM refusaient de la faire paraître,
à
Genesis notamment, et le prenaient de haut, sans rire.
Et voilà comment je suis passé aussitôt
de
l'innocente
parodie au pamphlet. Je suis sorti du sentier de Damas bien en
selle.
Ah !
ah ! le Manuscrit de
« Phèdre »
était indigne de leurs savantes publications ? un petit
papier
paru
dans le journal quotidien dont on n'a pas à tenir
compte ? qui ne
se
mérite pas même un accusé de réception
de l'ITEM
ou de
Genesis ? Non ? Alors je vais en faire tout un
livre.
Premier
épisode : le compte rendu pamphlétaire de leur
manuel,
avec son
sottisier. Et encore le compte rendu critique du compte rendu
dithyrambique
du
manuel de la CGMM publié par l'organe officiel de la CGMM.
Rien de
plus
amusant, pour le pamphlétaire, que de mettre les points sur
les i.
Ensuite, le travail de recherche n'en est pas moins
passionnant.
Dès le début, la recherche bibliographique s'est
révélée très intéressante et
encore plus
maintenant, lorsqu'on constate que trente ans de CGMM n'ont pas
encore permis
à l'ITEM d'entreprendre une simple bibliographie des
études de
genèse ! C'est tout de même extraordinaire.
Mais le plus
intéressant, le plus passionnant, pour moi, aura
été la
découverte progressive de la critique de la CGMM, le fait
qu'elle ait
été si peu importante et qu'elle n'ait eu aucun
impact. Pour
mesurer
ce silence critique peut-être sans précédent,
il ne faut
pas
oublier que l'Europe, la France et Paris ont toujours conduit
— et conduisent toujours —, la controverse
à des sommets vertigineux.
Les connaissances de la génétique et les
ignorances de
la
CGMM suivent très simplement, sous forme d'index. Bien
entendu, je
n'aimerais pas beaucoup me retrouver dans la liste des adeptes de
la CGMM et
je
suis bien désolé d'y voir figurer des
collègues, des
amis, des
auteurs que j'admire par ailleurs. La genèse intellectuelle
de ces
fichiers
informatiques sur la brouillonnologie devait s'achever avec le
mot « controverse »
de
l'alinéa précédent. Il y a un évident
et
nécessaire sadisme dans la polémique. Autrement,
sans plaisir,
personne n'aurait jamais le courage d'aucun combat. En revanche,
si la haine
et
la méchanceté peuvent paraître le moteur de la
controverse, sur
un sujet qui la justifie, alors c'est que l'on n'en a pas
mesuré
l'ampleur
et la nécessité. Bien sûr, comme tout le
monde, je n'aime
pas
que l'on me prête des sentiments qui me répugnent,
mais,
polémiste, je dois tout de même savoir en rire de bon
coeur,
puisqu'il
ne peut s'agir que d'une maladroite parade.
Parodie, pamphlet, recherche, étude, la
génétique
et
la brouillonnologie interpellent certes la phraséologie de
la CGMM.
Mais
en réalité, c'est nous tous qui sommes aux prises,
à
travers
elle, avec nos propres ignorances. Les miennes, sur la
brouillonnologie et
la
génétique, voire sur la CGMM, ne pourraient-elles
être
telles
que je doive un jour m'en repentir ? Pire : devoir en
rire !
Comme
l'écrit magnifiquement
Ángel Pariente, l'ignorance, que nous
cherchons tous,
comme le savant, à débusquer, ne se présente
pas souvent
avec
le plumage des beaux oiseaux ou la fourrure terrible du lion. Elle
a
plutôt
l'air profond du Sphinx ! Lorsqu'on a tout à
coup la chance
de
l'apercevoir clairement, dans toute sa splendeur — et c'est
le cas
de la CGMM
—,
alors on ne doit pas laisser passer l'occasion de l'analyser sous
toutes
ses
coutures. Sans pitié pour ses pauvres victimes.
Et n'ayez crainte : il est peu probable que le Sphinx
se mette
à chanter ou à rugir.
Il s'agit des auteurs des ouvrages et des
responsables des recueils
de la
CGMM.
On trouvera la liste des auteurs des articles de ces recueils dans
les
bibliographies de
Tx et de
Gen.
ALMEIDA SALLES, Cecília,
ANIS, Jacques.
BAURMANN, Jürgen,
BELLEMIN-NOËL, Jean, 1972a,
1972b,
1977,
BENGARD, Beate,
BESSIÈRE, Jean,
BEUGNOT, Bernard, 1993,
1994,
1999,
BEVAN, David G.,
1997,
BIASI, Pierre-Marc de, 1991,
1997,
2000,
2001,
2002,
BOIE, Bernhild,
BORNSTEIN, George,
BOUCHERON-PÉTILLON, Sabine,
BOURJEA, Serge, 1991,
1995,
BRIAN, Fitch,
BUDOR, Dominique,
BUSTARRET, Claire.
CABANÈS, Jean-Louis,
CANOVA-GREEN, Marie-Claude,
CARPENTIER, André,
CELEYRETTE-PIETRI, Nicole,
CERQUIGLINI, Bernard,
COMPAGNON, Antoine,
CONTAT, Michel, 1991,
1996a,
1996b,
1998,
CRESSOLE[S], Michel.
DEBRAY-GENETTE, Raymonde, 1987,
1988,
DEPPMAN, Jed,
DESJARDINS, Nancy,
DIDIER, Béatrice, 1986,
1987,
1988,
1990,
1991,
1992,
1993,
1994,
1995,
1996,
D'IORIO, Paolo, 1998,
2001,
DMITRIEVA, Katia,
DUCHET, Claude.
ESPAGNE, Michel, 1984,
1990,
1991,
1998.
FENOGLIO, Irène, 2002,
2003,
FERRARIS, Denis,
FERRER, Daniel, 1991a,
1991b,
1993,
1998a,
1998b,
2001,
2004.
GANASCIA, Jean-Gabriel,
GERMAIN, Marie Odile,
GIAVERI, Maria Teresa,
GIFFORD, Paul,
GONZALEZ, Francisco,
GOTHOT-MERSCH, Claudine
GOTTWALD, Herweg,
GRÉSILLON, Almuth, 1976,
1983,
1984,
1985,
1988,
1990,
1993,
1994a,
1994b,
1995a,
1995b,
2000,
2002,
GRODEN, Michael,
GUIDIS, Odile de, 1999,
2000,
GUILLAUME, Marc.
HASLINGER, Adolf,
HASUMI, Shigehiko,
HAY, Louis, 1979,
1979,
1980,
1982a,
1982b,
1986,
1989a,
1989b,
1990,
1993,
1998,
2002,
HAYMAN, David,
HOLL, Hildemar,
HOLLIER, Denis.
IORIO, Paolo De,
IRIGOIN, Jean.
JACQUET, Claude, 1985,
1988,
1990,
1991,
1998,
JALLAT, Jeannine,
JARRY, André,
JENNY, Laurent.
1999 KATO, Yasué,
KÉCHICHIAN, Patrick,
KLEIN, Christian,
KUDO, Yoko.
LAFORGUE, Pierre,
LAPIERRE, René,
LAUFER, Roger,
LAURENTI, Huguette,
LAVOREL, Guy,
LEBLANC, Julie, 2000,
2004,
LE CALVEZ, Éric, 1997a,
1997b,
LEBRAVE, Jean-Louis, 1976,
1983,
1990,
1991,
1991,
1994,
2000,
2001,
2002,
LEDUC-ADINE, Jean-Pierre,
LEJEUNE, Philippe, 1998,
1999,
LEVAILLANT, Jean, 1982,
1991,
LICHANSKI, Jakub Z.,
LOIS, Elida.
MALICET, Michel,
MANGIAPANE, Stella,
MARTEL, Jacinthe, 1999,
2001a,
2001b,
MARTENS, Gunter,
MARTIN, Henri-Jean,
MATSUZAWA, Kazuhiro, 1992,
2000,
MELANÇON, Robert, 1993,
1994,
MILLY, Jean,
MITOSEK, Zofia,
MITTERAND, Henri, 1994,
1998,
HONTEBEYRIE, Micheline, .
NAGY, peter,
NEEFS, Jacques, 1986,
1987a,
1987b,
1988,
1990,
1991,
1992,
1993a,
1993b,
1994,
1995,
1996a,
1996b.
OLIVIER, Andrew,
ORIOL-BOYER, Claudette.
PALERMO DI STEFANO, Rosa Maria,
PARENT, Stéphanie,
PENLOUP, Marie-Claude,
PESSOA, JoĈo,
PICKERING, Robert, 1990,
1996a,
1996b,
POULLE, Emmanuel.
RABATÉ, Jean-Michel,
RAGON, Marc,
RAYNAUD, Claudine,
REID, Martine,
REIMAN, Donald H.,
RENKER, Elizabeth,
RIVARA, Annie,
ROBINSON-VALÉRY, Judith,
ROTH, Marie-Louise,
ROUGÉ, Bertrand.
SCHRöDER-WERLE, Renate,
SÉRODES, Serge,
SIRAT, Colette,
SLOTE, Sam,
SUWALA, Halina.
TAPIA, André, 1990,
1991,
THIBAULT, Danièle,
THUMEREL, Philippe,
TINKLE, Theresa,
TOURNIER, Isabelle,
TURCOTTE, Hélène.
VACHON, Stéphane
VEZIN, Jean,
VIOLLET, Catherine, 1984,
1990,
1997,
1999.
WARNING, Rainer,
WERNER, Michaël, 1975,
1981,
1985,
1990,
WETHERILL, Peter Michaël,
WILLEMART, Philippe, 1989,
1993,
1999,
2000,
WILLENBRINK, George A.,
WOESLER, Winfried.
ZELLER, Hans, 1981,
1998,
ZILAR, Roberto.
Ce sont les auteurs désignés
dans les titres de leurs
ouvrages,
qui
sont souvent « anonymes » de ce point de
vue.
Les spécialistes de la CGMM travaillent
souvent, on le sait,
dans les
équipes du CNRS : les
« équipes »
Proust,
Joyce, Valéry, etc. Leurs auteurs privilégiés
sont donc
sûrement significativement moins variés encore que ne
le laisse
croire
la courte liste qui suit.
ARAGON, Louis.
BALZAC, Honoré de.
BEAUMARCHAIS, P. A. Caron de.
BECKETT, Samuel.
BRETON, André.
CASANOVA, G. Giacomo.
CHATEAUBRIAND, René de.
CHÉNIER, André de.
CONSTANT, Benjamin.
CORNEILLE, Pierre.
DIDEROT, Denis.
DU BOUCHET.
ÉLUARD, Paul.
FLAUBERT, Gustave, 1980,
1988,
1989,
1989,
1990a,
1990b,
1992,
1993,
1997.
HEINE, Henrich, 1975,
1976,
1981,
1984.
HUGO, Victor, 1987,
1990.
JOYCE, James, 1985,
1990,
1991,
1991,
1995.
LACLOS, P. Choderlos de.
LEIRIS, Michel.
MELVILLE, Herman.
MICHELET, Jules.
MILOSZ, O. V., 1972a,
1972b,
1977.
PASCAL, Blaise.
PEREC, georges, 1990a,
1990a.
PONGE, Francis.
PROUST, Marcel, 1990,
1996.
RÉTIF DE LA BRETONNE,
Rétif.
RILKE, R. M..
SADE, D. A. F. de.
SAND, George.
SARTRE, Jean-Paul.
SOUPAULT, Philippe.
STAËL, Mme de.
STENDHAL, Henri Beyle, 1988,
1991,
1993.
VALÉRY, Paul, 1982,
1990,
1990,
1993,
1996a,
1996b,
1997.
VIGNY, Alfred de.
ZOLA, Émile
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